Un bebe parle  de Samuel Eto'o

si BIYA est ton pere ,demande lui d'aller se reposer.La honte de la republique.Je suis le fils du Chef de l'Etat et tu loues les maisons.

FWCT-RTV : Bonsoir Pasteur, merci de répondre à nos questions ! C’est toujours un plaisir ….

Pasteur Zacharie Koutche Kengne : Oui, oui, c’est un plaisir et merci pour l’accueil

FWCT-RTV : L’engouement des camerounais pour les inscriptions sur les listes électorales, c’est la principale actualité au Cameroun…

Pasteur Zacharie koutche kengne : Tout ce que Dieu fait est bon. Le temps de Dieu est bon. Les camerounais ont trop supporters les frasques du régime BIYA. Si on se referme seulement sur la gestion de la CAN et du Covid-19, on aura envie de vomir. A un moment donné, il faut savoir ce qu’on cherche dans la vie. Vous avez au sommet de l’Etat des individus qui se battent pour succéder à Biya. Mais la meilleure façon de le faire, c’est de bien travailler : servir son peuple. Hélas ! Vous voyez ont leur a appris à se dévorer et c’est le peuple qui paye les pots cassés.

FWCT-RTV : Il y a un temps pour rire et il y a un temps pour pleurer

Pasteur Zacharie Koutche kengne : Justement ! Vous avez arraché cette phrase de ma bouche. La ou c’est parti-là, c’est pour le changement. Les camerounais sont déterminés.

FWCT-RTV : Elecam n’a pas change ses méthodes…. 

Je souhaite accompagner le futur president avec 100 000 Emplois dans le sports: le sport d'elite avec une npuvelle configuration .



Pasteur Zacharie Koutche Kengne : Nous n’avons pas de constitution .Oui, il faut que les camerounais le sachent. Nous n’existons pas. Nous pouvons disparaitre à tout moment.Elecam : c’est la mascarade. Dans un pays ou la constitution est respectée ,Elecam devait être indépendant. Voilà une institution qui gère plus de cent cinquante milliards ,et elle est incapable de mener une campagne pour les inscriptions sur les listes électorales, elle manque du matériel. Les camerounais de l’estrangers doivent bagarrer devant les ambassades pour se faire inscrire. Elecam n’existe pas. Nous avons pris l’option de faire partir ce régime .Nous sommes mobilisés pour les inscriptions avec les moyens de bord. Le jour du vote personne ne bouge, on supervise le dépouillement des urnes avec le personnel de cet instrument fantoche qui doit disparaitre avec la deuxième république. Cette fois ,c’est nous qui allons bourrer les urnes pour le changement.